Habiter une ville, c’est souvent ne plus la voir. Parfois ne plus la regarder. Passer, travailler, consommer, rencontrer, échanger... Beaucoup de photographes le disent : photographier sa ville est impossible. Le ressac permanent du «déjà vu» semble anesthésier le regard alors que l’inconnu, la surprise, l’errance, aiguisent l’œil...
Pourtant, huit photographes se sont réunis pour montrer leur ville. En tournant le dos aux domaines connus, en explorant des territoires improbables, temporaires ou transitoires... En recherchant des espaces imaginaires, en isolant des moments uniques, en débusquant le rêve dans la banalité, en composant des mosaïques de détails...
La ville qu’ils proposent n’est pas celle des touristes. Mais elle n’est pas plus réelle pour autant. Elle est partielle, déformée, subjective. Elle offre des décors urbains et des scènes de rue comme autant de lieux et de moments évanouis, rêvés, recomposés…
Pourtant, huit photographes se sont réunis pour montrer leur ville. En tournant le dos aux domaines connus, en explorant des territoires improbables, temporaires ou transitoires... En recherchant des espaces imaginaires, en isolant des moments uniques, en débusquant le rêve dans la banalité, en composant des mosaïques de détails...
La ville qu’ils proposent n’est pas celle des touristes. Mais elle n’est pas plus réelle pour autant. Elle est partielle, déformée, subjective. Elle offre des décors urbains et des scènes de rue comme autant de lieux et de moments évanouis, rêvés, recomposés…
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